Devinez un peu qui j'ai entendu hier sur Europe 1 ?
L'ex-principal du college d ePoindimie : Eric de Gavini ( excusez moi pour l'orthographe ).
Il parlait à l'occasion d'un stage pour principaux de collège et proviseurs de lycées de banlieue parisienne afin de les aider à affronter le probleme des bandes de voyous qui investissent leur établissement.
Monsieur l'ex-principal du collège Raymond Vauthier de Poindimie dirige un établissement de Nanterre, ville assez dure et assez chaude proche de Paris.
C'est fou comme le monde est petit.
Ca été sympa de travailler avec vous et de vous réentendre en allant payer ma facture Enercal .
Lors de ma dernière plongée avec martin du Tieti Diving, j'ai pu voir un diable des mers.
De la famille des raies manta, elle est bien plus petite que sa grande soeur.
Voici une photo d'un diable des mers prise sur un site animalier bien sympa : nudafoto
Koh Lanta de retourAprès l’île des Pins en 2006, les équipes de Koh Lanta sont de retour en Nouvelle-Calédonie, mais ce coup-ci dans le nord du pays pour une émission très particulière. Baptisée « Le choc des héros », elle verra s’affronter deux équipes sur des îlots de la commune de Poum. D’un côté six anciens candidats triés sur le volet, de l’autre, six sportifs de (très) haut niveau.
Le Malabou Beach, dernier hôtel du grand Nord calédonien, est depuis quelques jours transformé en véritable camp de base pour les équipes de Koh Lanta. Après le retour des héros en Amazonie, neuvième saison et une audience moyenne de 8,3 millions de téléspectateurs, Adventure Line Production rêvait de relever un nouveau challenge et a choisi, pour la deuxième fois après l’île des Pins en 2006, la Nouvelle-Calédonie et ses décors de carte postale comme terrain de jeu. Ce programme, qui devrait être diffusé au printemps 2010, sera plus court, 20 jours de tournage au lieu de 40 habituellement, mais beaucoup plus intense et proposera un affrontement inédit entre six anciens candidats forts de l’aventure et six sportifs de haut niveau (lire encadré). « Nous avions déjà fait un Koh Lanta où une équipe de femmes affrontait une équipe d’hommes, lors de la saison 4 à Las Perlas au Panama, et un autre où les jeunes affrontaient les vieux, lors de la saison 6 au Vanuatu, mais ce coup-ci nous voulions que le téléspectateur puisse vraiment se rendre compte de la difficulté de cette aventure en introduisant des sportifs de haut niveau dans l’aventure », explique Thierry Graff, le producteur exécutif. « Pour cela, nous avons décidé en accord avec TF1 d’inviter des sportifs de haut niveau pour voir ce qu’ils pouvaient donner dans l’aventure face à d’anciens candidats, auxquels les téléspectateurs pourront s’identifier ». Depuis cette décision, et le choix des six sportifs, les rumeurs vont bon train sur la toile concernant les noms des participants et cette onzième saison semble déjà faire le buzz sur internet, de quoi imaginer une nouvelle audience record pour le diffuseur TF1.
« Certaines années, nous avons eu jusqu’à 125 000 demandes de participation »
Le principe du jeu ne change pas, bien au contraire, car les producteurs et TF1 veulent garder les fondamentaux qui font le succès de cette aventure. « Certaines années, nous avons eu jusqu’à 125 000 demandes de participation et tous les anciens candidats souhaitent un jour le refaire, précise Christian Le Bozec, chef de projet de TF1, qui a vu grandir l’émission. Les sportifs ont suivi, comme tous les candidats, le casting habituel de Koh Lanta. Pour nous, il est important que cette aventure reste quelque chose d’exceptionnel, d’authentique et vrai. Il y aura donc, comme chaque saison, 100 000 euros à la clé et si c’est un sportif qui les remporte, il en fera ce qu’il veut ». Toute l’équipe est donc sur le pont depuis quelques jours pour un Koh Lanta très intense dont le tournage a débuté jeudi à 6 heures du matin par le traditionnel naufrage des candidats. Initialement prévue mardi, cette étape cruciale de l’aventure a dû être repoussée en raison de conditions météo particulièrement difficiles. L’été calédonien tardant à démarrer. Pour cette spéciale, l’ensemble des équipes a concocté un programme particulièrement chargé pour les deux équipes et le moins que l’on puisse dire sans gâcher le suspense, c’est que nous avons pu assister à un lancement inédit et que la partie s’annonce très serrée. Les six anciens candidats ont bien évidemment une expérience de survie que les sportifs n’ont pas, mais ces derniers possèdent un avantage physique, du moins au début de l’aventure, que les anciens envient. Après une première nuit sur les îlots de la commune de Poum, les candidats se sont à nouveau affrontés vendredi (hier). Ce soir (samedi), le premier conseil devra désigner le premier éliminé. L’aventure est lancée.
Samedi dernier, l'Amicale des Professeurs du Collège Raymond Vauthier de Poindimie a organisé une descente en Kayak de la rivière Amoa. Plus de 20 participants.
Pour cela, un gros travail a été effectué par quelques uns de ses membres :
- Prise de contact avec les encadrants kanaks de l'association Kayak.
- Demande d'autorisation au petit chef de la tribu de St Thomas pour la descente et le lieu du pique-nique.
- Demande à l'APE ( Association de Parents d'Eleves ) de St Thomas si elle voulait bien nous confectionner et nous vendre des repas ( bougna ou autre ) .
Tout à été fait dans les règles et les coutumes.
Pensait on ...
Quelques jours plus tard :
- l'APE refuse de nous faire des repas . OK . Elle aurait gagné plus de 40000F pour une matinée de travail. Et il y aurait pu avoir un échange avec ces parents qui ont tant d'élèves au collège ...
- La veille de la sortie, sans avertissement, les 2 encadrants ne sont plus disponibles. Ils étaient prevenu depuis 3 semaines ...
Le jour même:
- Apres avoir descendu les kayaks de la remorque, au plus loin de la piste, nous sommes accueilli à coup de sabre.
" Vous ne pouvez pas descendre la rivière. Si vous le faîtes , vous serez bombardés ! " " On a des problemes avec le chef, alors vous ne pouvez pas descendre ."
On a essayer de parlementer, de faire coutume avec un responsable ... en vain. On demande meme son nom, à cette personne :Leon Poipidawa . 2 jours plus tard on apprend qu'aucun Leon Poipidawa n'habite AMOA !!!
Nous voila donc, avec nos kayaks , à remonter sur la remorque et à descendre bien plus bas sur la route : direction l'église Sainte Therese , où le petit chef nous avait donné l'autorisation de pique-niquer.
Changement de programme. C'est pas très grave en soi.
La descente de 3h, jusqu'à la base nautique de Galilé c'est bien passée. Heureusement.
On remonte en voiture jusqu'à l'aire de pique-nique et on savoure le menu preparé par le TCP ( Tennis Club de Poindimie , merci à eux ) plutot que le repas typique local.
Et voilà la cerise sur le gateau :
Au moment de repartir, un collègue constate que la serrure de sa voiture est fracturée, que son tableau de bord est défoncé et que son auto radio s'est envolé .
Bel accueil. Belle publicité.
Vous avez une belle vallée mais pas l'hospitalité.
Ânûû-rû âboro, cinéma en langue paicî, signifie littéralement « l’ombre de l’homme » .
La dignité de l’homme est inséparable de ses combats pour l’émancipation et la liberté. Depuis la signature de l’Accord de Nouméa en mai 1998, le peuple kanak et les citoyens de la Nouvelle-Calédonie sont engagés dans un processus de décolonisation dont le terme, s’il en est décidé ainsi, est la pleine souveraineté. Cette aspiration à la dignité rejoint celle d’autres peuples du monde. Le Festival Anûû-rû âboro , par la promotion du cinéma documentaire, veut faire écho au tumulte du monde et à la parole des peuples. Le cinéma documentaire peut être ce langage commun parlé par tous les peuples du monde.
Anûû-rû âboro donnera à voir des films venus d’Afrique, d’Asie, des Amériques, d’Europe et bien sûr d’Océanie. Il donnera à voir autant qu’à débattre. A débattre autant qu’à réfléchir à la maîtrise des outils techniques et aux enjeux de sens et de responsabilité liés à l’acte de filmer. Le cinéma est autant une affaire d’éthique que d’esthétique.
Le prochain Festival Anûû-rû âboro se déroulera à Pwêêdi Wiimîâ (Poindimié) et dans tribus de la Province nord de la Nouvelle-Calédonie, province à majorité indépendantiste. La colonisation a concentré l’essentiel des activités économiques dans le sud, à Nouméa principalement. Ainsi, la Province nord ne compte aucune salle de cinéma. Habituellement, les projections y ont lieu en plein air par l’intermédiaire d’un cinéma ambulant : Ciné-brousse. Organiser un festival de cinéma documentaire dans une province qui ne possède pas de cinéma est plus qu’un paradoxe, c’est affirmer la volonté de dépasser les déséquilibres hérités de la colonisation.
Anûû-rû âboro veut offrir à ses invités et aux festivaliers un cadre de projection inhabituel, en plein air, en tribu, assis sur une natte au milieu de la population locale. Invités et participants auront ainsi la possibilité d’être nourris en tribu, hébergés dans des cases « chez l’habitant » dans la tradition kanak de l’accueil, empreinte de respect et d’humilité, et de conclure les soirées par des discussions et des échanges dans une ambiance fraternelle. Ânûû-rû âboro sera un festival immergé dans la population kanak, ambitieux dans sa programmation, modeste et chaleureux dans son organisation.
Films
Une vingtaine documentaires en compétition seront projetés dans le cadre du festival ânûû-rû âboro. Ces films s’inscriront dans l’esprit de liberté et d’émancipation des peuples, avec une attention particulière pour les œuvres novatrices produites par les peuples eux-mêmes. En parallèle de la sélection officielle, un choix de films d’auteurs kanak ou concernant le peuple kanak et les citoyens calédoniens sera programmé.
Deux prix seront décernés : le Grand prix du festival Ânûû âboro, le prix spécial du Hury et le Prix spécial Cèikî (espoir).
Lieux
Le Festival ânûû-rû âboro se tiendra dans la commune de Pwêêdi Wiimîâ (Poindimié). Située sur la côte est, en bord de mer, Pwêêdi Wiimîâ compte 5 000 habitants répartis en deux districts coutumiers et vingt-deux tribus. Le festival ânûû-rû âboro projettera les films sélectionnés dans la salle de spectacle de la médiathèque en journée et dans les tribus environnantes à la tombée du jour.
La kermesse (du flamand Kerkmisse Messe de l'église) désigne en Belgique, dans le Nord de la France et au Luxembourg, une fête paroissiale, patronnale, de bienfaisance ou une foire annuelle.
La RP 3 est bloquée par les forces de l'ordre, l'ecole primaire est montée au collège pour se mettre à l'abri, les élèves du collège sont soit en cours, soit dans la cour.
Personne ne bouge. Tout le monde attend midi ... et la fin de l'alerte.
Une semain après l'alerte Tsunami due au tremblement de terre aux Samoa, une nouvelle alerte aujourd'hui à 11h15 ( aucune vague ) et tout à l'heure à 12h après le double séisme au Vanuatu.
Les habitants de Poindimie ont été alertés par la gendarmerie.
La proximité du tremblement inquiete la population .
Article de l'Associated Press :
" Double séisme au large de Vanuatu, alerte au tsunami De THE ASSOCIATED PRESS (CP) WELLINGTON, Nouvelle Zélande — Deux puissants séismes ont frappé jeudi matin au large de Vanuatu et une alerte au tsunami a été déclenchée dans le Pacifique sud, a indiquée l'Institut géologique américain. La première secousse, d'une magnitude de 7,8 s'est produite à 294 km au nord ouest de l'île de Santo à Vanuatu, et à quelque 600 km de la capitale Port Vila, à une profondeur de 35 km sous les eaux. Quinze minutes plus tard, une deuxième secousse de magnitude 7,3 s'est produite à la même profondeur, mais à 35 km plus au nord de Santo et Port Vila. Le centre des alertes au tsunami du Pacifique a immédiatement mis en garde les pays voisins. Cela concerne onze pays, dont Vanuatu, les Iles Salomon, la Papouasie Nouvelle-Guinée, Nauru, les Fidji et Kiribati. L'Australie et la Nouvelle-Zélande sont également en alerte à un niveau moindre. Aucun mort ni dommage ne sont signalés dans les 83 îles composant Vanuatu, selon les autorités locales, mais le porte parole de la police de Vanuatu, Take Rakau, a précisé qu'il n'avait pas eu de contact avec Santo. Le séisme n'a pas été ressenti dans la capitale de l'archipel Port Vila, mais l'a vraisemblablement été à Luganville, selon lui. L'alerte intervient deux semaines après le tremblement de terre de magnitude 8,3 qui a dévasté les Samoa, faisant au moins 178 tués aux Samoa, Samoa américaines et Tonga. Un fort séisme a également frappé le sud des Philippines, jeudi matin heure locale d'après l'institut géologique américain, sans faire de victimes. "
Les concerts se passeront principalement dans les tribus de Touho, à l'eglise de Tye de Poindimie et surement à l'hopital de Poindimie vers la fin novembre.
Pour l'heure, on n'est pas au point.
Par contre ce qui est au point c'est le blog de la chorale Vivement Lundi mis en place par Alain.
Au moins 113 personnes ont été tuées, mardi 29 septembre, à la suite du tsunami qui a frappé l'archipel îles Samoa, dans le Pacifique Sud. Les nombreux villages côtiers et des hôtels touristiques de la région ont été dévastés. "Au dernier décompte, nous avons dénombré 84 corps", déclare un employé de l'hôpital Tupua Tamasese des Samoa. L'île des Samoa américaines confirme la mort de 22 personnes. Par ailleurs, les îles Tonga voisines déplorent 7 décès. Le bilan pourrait être encore plus lourd encore, prévient Michael Sala, directeur de la sécurité intérieur des Samoa américaines. Dans les trois nations du Pacifique Sud, plusieurs dizaines de personnes sont également portées disparues alors que les communications sont coupées avec de nombreux villages.
Des murs d'eau de 3 à 9 mètres de haut
Le séisme s'est produit mardi à 6h48 heure locale (19h48 heure française), avec un épicentre localisé à environ 200 km au sud-ouest d'Apia, selon un rapport préliminaire de l'institut géophysique américain (USGS). D'une magnitude de 8 sur l'échelle de Richter, le séisme a surpris au petit matin les habitants et touristes. La secousse a été suivie d'un tsunami une vingtaine de minutes plus tard. Des témoins racontent avoir vu des murs d'eau de 3 à 9 mètres de haut déferler, balayant villages et hôtels. "Des vagues immenses sont arrivées et on a couru vers notre véhicule. On essayait d'ouvrir la porte, les vagues arrivaient. Finalement, la porte s'est ouverte mais l'eau a déferlé sur nous", a raconté à la chaîne australienne Sky News une touriste étrangère qui a fui son bungalow sur la plage. Le Premier ministre des Samoa, Tuilaepa Sailele Malielegaoi, s'est dit "totalement bouleversé". "Tant de gens sont morts. Je suis si choqué, si triste de toutes ces pertes". La région la plus touristique des Samoa a été "dévastée", a déclaré le vice-Premier ministre Misa Telefoni. Il a indiqué que deux des hôtels les plus fréquentés, le Sinalei Reef Resort et le Coconuts Beach Resort, au large de la côte ouest d'Upolu, la principale île des Samoa, avaient été sérieusement endommagés.
"Le bilan va probablement s'alourdir"
"Le bilan va probablement s'alourdir car d'autres victimes n'ont pas été enregistrées en raison de problèmes de communication", a déclaré Talutala Mauala, secrétaire général de la Croix Rouge. Selon un journaliste local, Jona Tuiletufuga, "des villages entiers ont été dévastés. Nous avons des informations faisant état de disparus dans les zones les plus touchées, sur la côte sud et sud-est". La plupart des dégâts semblaient se concentrer dans le sud des Samoa, frappé par des vagues de six à huit mètres. L'archipel des Samoa américaines a lui été "dévasté", selon le délégué des Samoa au Congrès américain. Le séisme "a provoqué un raz-de-marée de 4,5 mètres de haut. Certaines zones sont tout juste au-dessus du niveau de la mer, vous pouvez donc imaginer la dévastation", a dit Eni Faleomavaega par téléphone à l'AFP. Le président Barack Obama a déclaré l'état de catastropheaux Samoa américaines, "ce qui va permettre de déployer les moyens nécessaires à une réponse complète, rapide et agressive", a-t-il précisé. L'Union européenne a déjà annoncé une première aide d'urgence de 150.000 euros pour les victimes. Cette aide sera versée à la Croix Rouge internationale et pourrait être utilisée pour de l'aide médicale, l'approvisionnement en eau et des abris d'urgence.
LOS ANGELES/WELLINGTON (Reuters) - Les autorités ont levé mardi une alerte au tsunami dans le Pacifique, déclenché par un violent séisme sous-marin au large de l'archipel des Samoa où au moins 14 personnes ont péri.
Les conséquences du tremblement de terre, d'une magnitude de 8,0 sur l'échelle de Richter, semblent toutefois limitées.
Le raz-de-marée a frappé les Samoa américaines, un territoire des Etats-Unis, où 14 personnes sont mortes selon les autorités citées par la radio locale, ainsi que les Samoa (ex-Samoa occidentales) voisines, où il y a "plusieurs" morts.
Des témoignages non confirmés parlent de vagues hautes de plus de quatre mètres.
"Pour l'instant, tout le monde est réfugié dans les montagnes", a déclaré le présentateur de la radio Showers of Blessings, des Samoa américaines.
Aux Samoa, qui comptent quelque 220.000 habitants, un représentant de la police a indiqué qu'il y avait des dégâts et des victimes, sans pouvoir en dire plus pour le moment.
La crainte d'un désastre majeur - le tsunami de 2004 avait fait 230.000 morts dans onze pays - s'est toutefois dissipée quand le centre d'alerte au tsunami du Pacifique a levé son alerte pour la région.
L'alerte a également été levée à Hawaï, où les habitants avaient fui vers les reliefs.
En Polynésie française, le haut-commissariat a fait savoir grâce à des sirènes vers 12h05 locales (22h05 GMT mardi) que l'alerte rouge était levée à Tahiti et dans les îles de la Société, mais encore maintenue aux Marquises.
A Tahiti, on a enregistré cinq vagues, de 11h10 à midi, dont la plus grande a été de 45 centimètres.
Aux Marquises, il a été demandé aux habitants de s'éloigner des côtes à une hauteur par rapport à la mer d'au moins 10 mètres.
UNE SECOUSSE DE CINQ MINUTES
L'épicentre du séisme était situé à 190 km au sud-ouest des Samoa américaines, à une profondeur de 18 kilomètres, a précisé le centre américain de surveillance géologique (USGS).
"Le tsunami a atteint certaines parties du pays", a confirmé une porte-parole de la police du territoire américain.
Une habitante d'un village côtier, Theresa Falele Dusse, a raconté à la radio néo-zélandaise que sa maison avait été détruite par une vague, tout comme plusieurs maisons et voitures du village voisin.
Le centre d'alerte des tsunamis pour la côte Ouest et l'Alaska a fait état de raz-de-marée à Apia, capitale des Samoa occidentales, et à Pago Pago, aux Samoa américaines.
Selon le centre d'alerte dans le Pacifique, basé à Hawaï, les vagues enregistrées à Pago Pago dépassaient de 1m50 le niveau habituel de la mer.
Dans ce petit territoire situé à mi-chemin de Hawaï et de la Nouvelle-Zélande, où vivent 65.000 personnes, un témoin a dit avoir ressenti la secousse pendant cinq minutes.
Selon le directeur du parc national des Samoa américaines, Mike Reynolds, quatre tsunamis d'un niveau de 4 à 6,40 mètres supérieur au niveau normal de la mer se sont succédé sur les côtes des Samoa américaines, pénétrant jusqu'à 1,6 km dans les terres.
Les autorités de Polynésie française ont levé mardi une alerte rouge au tsunami à Tahiti et dans les îles de la Société, mais l'ont maintenue aux Marquises.
Le haut-commissariat a annoncé la levée de l'alerte grâce à des sirènes vers 12h05 locales (22h05 GMT).
"A Tahiti, on a enregistré cinq vagues, de 11h10 à midi, dont la plus grande a été de 45 centimètres.
Le front de mer, à Papeete, ayant été fermé à la circulation, le trafic routier est resté très perturbé dans l'agglomération.
Une vague avait été annoncée à partir de 10h30 heure locale en Polynésie française, de 2 mètres aux îles Marquises, de 90 cm aux îles de la Société, aux Australes et aux Tuamotu-Gambier.
Aux Marquises, il a été demandé aux habitants de s'éloigner des côtes à une hauteur par rapport à la mer d'au moins 10 mètres."
Sur l'image ci-après, vous pouvez voir la modélisation de la propagation du tsunami déclenché par le violent séisme qui s'est produit au large des îles Samoa, développée par des scientifiques américains.
A 7h50 ce matin, un séisme a été signalé aux îles Samoa de magnitude 8.3 .Une vague est annoncée à partir de 10h30 en Polynésie française : - de 2 mètres aux Marquises - de 90 cm aux îles de la Société, aux Australes et aux Tuamotu-Gambier.
Mesures urgentes de sécurité :
- aux Marquises, il est demandé à la population de s’éloigner des côtes à unehauteur par rapport à la mer d’au moins 10 mètres.
- Dans l’archipel de la Société, il est demandé à la population de s’éloigner descôtes à une hauteur par rapport à la mer d’au moins 5 mètres.
- Pour les îles basses, rejoindre le point le plus élevé et le plus éloigné de lacôte, et prioriser les abris. Les éléments dont nous disposons font état d’un risque important d’inondation des îles basses. Eloignez-vous des vallées et des baies. Attachez solidement vos bateaux et autres embarcations. Restez à l’écoute de RFO Radio. Dès que l’alerte sera levée, une communication vous sera faite par cette station. Respectez les consignes de sécurité qui vous seront donnés par les servicescompétents.
Ca fait vraiment bizarre d'avoir ces alertes en Polynesie ... j'y étais il y a une semaine ... Ca fait froid dans le dos. Quand on sait que les atolls des Tuamotu sont de petites bandes de terre posées sur l'ocean ...
" WASHINGTON (Reuters) - Un tsunami provoqué par un violent séisme de magnitude 8,0 sur l'échelle de Richter a fait des victimes mercredi dans l'archipel des Samoa, dans l'océan Pacifique, annoncent les autorités. Un responsable du Service des parcs nationaux de la région Ouest et Pacifique à Oakland, en Californie, a fait état de victimes aux Samoa américaines, sans préciser leur nombre. Plusieurs personnes ont également trouvé la mort aux Samoa occidentales, a annoncé la police locale, sans donner plus de détails elle non plus. "Le tsunami a atteint certaines parties du pays", a dit une porte-parole de la police. Priée de dire s'il y avait des victimes, elle a seulement répondu : "Oui." Le centre d'alerte des tsunamis pour la côte Ouest et l'Alaska a fait état pour sa part de raz-de-marée à Apia, capitale des Samoa occidentales, et à Pago Pago, aux Samoa américaines. Selon le centre d'alerte dans le Pacifique, basé à Hawaii, les vagues enregistrées à Pago Pago dépassaient de 1m50 le niveau habituel de la mer. Il avait auparavant avancé que la montée des eaux pouvait "avoir été destructrice sur les côtes proches de l'épicentre" et avait lancé une alerte au tsunami concernant l'archipel et les autres îles de la région, notamment la Nouvelle-Zélande. A Hawaii, les autorités sont en alerte. Si le tsunami devait atteindre l'archipel, cela se produirait selon la chaîne CNN vers 23h20 GMT. L'épicentre du séisme était situé à 190 km au sud-ouest des Samoa américaines, à une profondeur de 18 kilomètres, a précisé le centre américain de surveillance géologique (USGS). A Pago Pago, les autorités ont demandé à la population de gagner les zones les plus élevées des terres. Aux Samoa américaines, petit territoire situé à mi-chemin de Hawaii et de la Nouvelle-Zélande, où vivent 65.000 personnes, un témoin a dit avoir ressenti la secousse pendant cinq minutes. Interrogée sur la situation dans l'archipel, la porte-parole du Service des parcs nationaux de la région Ouest Pacifique, Holly Bundock, a répondu : "Je dirais que nous sommes en alerte." Selon le directeur du parc national des Samoa américaines, Mike Reynolds, quatre tsunamis d'un niveau de 4 à 6,40 mètres supérieur au niveau normal de la mer se sont succédé sur les côtes des Samoa américaines, pénétrant jusqu'à 1,6 km dans les terres. "Le centre touristique du parc national des Samoa américaines et ses bureaux semblent avoir été totalement détruits", a dit la porte-parole, ajoutant que Reynolds était coupé du reste de l'île. "
" Une alerte rouge au tsunami a été déclenchée mardi à Tahiti, après l'annonce d'un séisme de magnitude 7,9 au large des îles Samoa, par le Haut-Commissariat de la République en Polynésie française qui prévoit une vague "de deux mètres" aux Iles Marquises. Selon le communiqué, des vagues de 90 cm à 1 m pourraient également toucher les îles de la Société, les Australes et les Tuamotu-Gambier. La Protection civile recommande aux habitants "de s'éloigner des côtes à une hauteur par rapport à la mer d'au moins 10 mètres". "Les éléments dont nous disposons font état d'un risque important d'inondation des îles basses", ajoute le Haut Commissariat. Un fort tremblement de terre de magnitude 7,9 au large des îles Samoa a été détecté mardi par l'institut géophysique américain (USGS), qui a lancé une alerte au tsunami concernant notamment la Nouvelle-Zélande, Fidji, Tonga et la Polynésie française, les Samoa, les Samoa américaines, Wallis et Futuna, les îles Cook, Tuvalu, Kiribati et les îles Kermadec. L'épicentre a été localisé à environ 200 km au sud-ouest d'Apia, la capitale de l'archipel des Samoa. La secousse s'est produite à 6H48 locales mercredi (17H48 GMT mardi)." Site du Point
Autre article :
" Une alerte au tsunami a été émise mardi dans le Pacifique sud à la suite d'un fort tremblement de terre de magnitude 7,9 au large des îles Samoa, a annoncé l'institut géophysique américain (USGS). Les premières informations ne faisaient pas état dans l'immédiat de dégâts, hormis quelques glissements de terrain. L'alerte a conduit les habitants des zones côtières des Samoa à fuir pour rejoindre des zones plus élevées, ont indiqué à l'AFP plusieurs habitants. L'alerte concerne notamment la Nouvelle-Zélande, Fidji, Tonga et la Polynésie française, les Samoa, les Samoa américaines, Wallis et Futuna, les îles Cook, Tuvalu, Kiribati et les îles Kermadec, a indiqué l'USGS dans un communiqué. "Nous ne savons pas si un tsunami a été généré" par la secousse, a de son côté indiqué le Centre d'alerte au tsunami du Pacifique dans un communiqué. Mais "un tremblement de terre de cette puissance peut potentiellement entraîner un tsunami destructeur en quelques minutes près de l'épicentre, et en quelques heures dans des zones côtières plus éloignées", a prévenu la même source, en invitant les autorités concernées à "prendre les mesures nécessaires" pour faire face à cette éventualité. L'épicentre de la secousse, qui s'est produite à 6H48 locales mercredi (17H48 GMT mardi), a été localisé à environ 200 km au sud-ouest d'Apia, la capitale de l'archipel des Samoa, selon un rapport préliminaire de l'USGS. Une "surveillance" au tsunami a été déclarée entre autres pour la Nouvelle-Calédonie, la Papouasie-Nouvelle Guinée, Vanuatu, Nauru, les îles Marshall, les îles Salomon et Hawaii." Site du Point
Réunis le mardi 25 août, les personnels du collège ont déposé un préavis de grève pour le 3 septembre.
En effet, les fermetures de sections dans le collège, 4ème et 3ème sections européennes ainsi que d’un groupe de 3ème DP sur l’ALP, ont occasionné de nombreuses interpellations auxquelles le vice-rectorat n’a donné aucune suite favorable.
De plus, monsieur le vice-recteur s’était engagé devant les personnels de l’ALP au maintien des moyens à l’identique pour la prochaine rentrée, ce que les prévisions infirment. Ces personnels attendaient de sa part un petit peu plus de considération et espéraient que des avancées interviendraient rapidement.
A ce jour, aucun nouveau contact n’a été établi par le Vice Rectorat !
Cette absence de dialogue nous conduits à appeler l’ensemble des personnels à la grève le 3 septembre.
Une information sera donnée aux parents le jeudi matin ainsi que lors de la rencontre du 4 septembre.
Les modalités de la poursuite de l’action seront envisagées à la rentrée.
Vous en voulez, vous en aurez... Voila plus de deux ans que je suis à Poindimie, en Nouvelle Caledonie. Je vous propose chaque semaine d'avoir un aperçu de la vie dans le pacifique sud ( Japon, Nouvelle Zelande, Polynésie, Australie...) et de mes deplacements dans notre beau monde . A travers des photos et de videos vivez au rythme tropical. Alors si vous passez me voir sur mon blog, n'hésitez pas à me laisser un message...